Membre ad libitum et à l’origine de la création des BarberPeïs, BarberTof dirige le groupe depuis ses premières notes. Il est constamment à la recherche de nouveaux chants Barbershop pour nourrir les besoins pressants de ses comparses et donner suite à leurs nombreuses pressions.
Son vocabulaire brusseleir est sans nul doute le plus étendu parmi les Peïs, il jongle aisément avec les mots de cette langue qu’il maitrise bien. Son cerveau est d’ailleurs pré-programmé et lui permet de traduire avec brio des textes anglais (langue d’origine du barbershop) en Tof histoires de bruxellois typiques tels que Jefke, Wiske, Freddy & Katty. La déferlante d’idées qui jaillit de son imagination, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, lui impose un rythme de vie à contretemps sans cependant risquer la syncope.
Une fois sur scène en compagnie des BarberPeïs, il ne contrôle plus rien. Il n’est pas rare que le public observe alors des comportements d’un « benêt » : visage béat, état amorphe, réactions lentes, mouvements à l’opposé du groupe. Seule son ouïe fine est épargnée par cette cacophonie d’effets secondaires, il suffit d’observer ses oreilles. Grâce à ses larges pavillons, BarberTof parvient à corriger les fausses notes, à aller à la chasse aux consonnes molles et à la pêche au meilleur moule harmonique. Quant à eux, les BarberPeïs admirent et respectent ses talents, tout en faisant fi et se moquant ’parfois’ des crises de mimiques de leur Tof chef.
A toujours chanté nu sous la douche, et s'est dit un beau jour que "sec et en costume, c'était pas mal non plus !"
C'est quand même mieux le caberdouche pour zieverer, une fois :-)
Après avoir prêté sa voix dans des chorales de plus en plus petites (voire de moins en moins grandes), il a atterri ici : chanter à cinq, c'est un beau défi. Il faut tenir sa voix.
Snul adooore le glissando; le chef n'est pas du même avis !! Il essaye de chanter aussi fort que Stuut. Sacré défi !
Il prend un pied pas possible à chanter en lead, faisant les yeux doux aux damoiselles du premier rang. Méfiez-vous Mesdames, plus d'une est tombée de son strapontin en croisant son bleu regard :-)
C'est quand même mieux le caberdouche pour zieverer, une fois :-)
Après avoir prêté sa voix dans des chorales de plus en plus petites (voire de moins en moins grandes), il a atterri ici : chanter à cinq, c'est un beau défi. Il faut tenir sa voix.
Snul adooore le glissando; le chef n'est pas du même avis !! Il essaye de chanter aussi fort que Stuut. Sacré défi !
Il prend un pied pas possible à chanter en lead, faisant les yeux doux aux damoiselles du premier rang. Méfiez-vous Mesdames, plus d'une est tombée de son strapontin en croisant son bleu regard :-)
Chanteur depuis son plus jeune âge, BarberStûût a fait ses armes musicales dans le chant choral classique. C’est lors d’un weekend de répétition qu’il a fait son entrée en scène dans un style bien à lui… et étonnamment proche de celui des peïs. Il s’est en effet laissé aller à des jeux de mots subtils, des calembours biens placés et des billevesées de son cru personnel. Ceci en a laissé ses comparses pantois si bien qu’ils lui ont levé leur (chapeau) melon en guise d’accueil approuvé.
Stûût a alors entamé une chevauchée d’apprentissage du répertoire des Barberpeïs à un rythme effréné. Sa méthode s’assimile à ces méthodes intensives type ’bourrage de crâne’ pour apprendre une langue étrangère : une farde avec partitions, plusieurs fluos, des myriades de chants gravés sur CD qui tournent en boucle dans le moindre lecteur disponible (voiture, chaîne hi-fi, ordinateur, smartphone, berceuse d’enfant), beaucoup de patience et des répétitions intenses. Résultat des courses : pas un seul Stûût pour tout maitriser en deux temps et trois mouvements.
En banquier averti, Stûût s’occupe des cordons de la bourse et surveille les deniers (gagnés à grosses gouttes de sueur par les peïs lors de leurs concerts) publics.
Stûût a alors entamé une chevauchée d’apprentissage du répertoire des Barberpeïs à un rythme effréné. Sa méthode s’assimile à ces méthodes intensives type ’bourrage de crâne’ pour apprendre une langue étrangère : une farde avec partitions, plusieurs fluos, des myriades de chants gravés sur CD qui tournent en boucle dans le moindre lecteur disponible (voiture, chaîne hi-fi, ordinateur, smartphone, berceuse d’enfant), beaucoup de patience et des répétitions intenses. Résultat des courses : pas un seul Stûût pour tout maitriser en deux temps et trois mouvements.
En banquier averti, Stûût s’occupe des cordons de la bourse et surveille les deniers (gagnés à grosses gouttes de sueur par les peïs lors de leurs concerts) publics.
Doté d’un organe (vocal) de baryton, Klett’ navigue aisément tantôt vers les basses, tantôt vers les ténors. Klett’ est un Peï à la une volonté tenace et à l’humour aiguisé. Avec Klett’, les Barberpeïs peuvent garantir qu’ils chanteront devant un public… Il a une kyrielle de connaissances et d’amis qu’il motive par ses qualités relationnelles et humaines.
En scène, BarberKlett’ se transforme en un personnage dont le visage grimace et se tord dans tous les sens, générant très souvent l’hilarité. Repoussant d’un coup de melon les limites de l’audace, il ose porter une chemise verte « flashy ». En effet dans le monde du spectacle la couleur verte est considérée comme maléfique sauf chez les clowns… D’aucuns pensent que Klett’ possède certains attributs du clown.
Il a parcouru le monde jusqu’à la muraille de Chine pour nous revenir enfin après des mois de voyage … avec sa colombine.
Et pour terminer Klett’, c’est l’as du calcul des tableaux, des résumés succins et de l’effort minimaliste (le max de résultats en un minimum de temps) en raison de son agenda de ministre.
Même s'il est le "petit" dernier du groupe, il en est de loin le plus expérimenté. Pas au niveau musical, là il n'atteindra jamais la taille du chef. Mais au niveau de la vie. Pensez donc, il a vécu exactement 100 jours de plus que Tof, 1000 de plus que "Snul", 1500 que "Stuût" et 2000 que Klett. Le hasard des chiffres parfois... Mais Klinch a un avantage supplémentaire :
il exerce quotidiennement ses cordes vocales avec un "madonna" et devant des centaines de madones... qui s'amuseraient beaucoup de son gilet et du chapeau-boule.
Son rôle chez les BarberPeïs ? Les « Toum-toum » et les « wabadouba ». Autant dire qu'on lui a réservé la place nécessitant le moins de mémoire...
il exerce quotidiennement ses cordes vocales avec un "madonna" et devant des centaines de madones... qui s'amuseraient beaucoup de son gilet et du chapeau-boule.
Son rôle chez les BarberPeïs ? Les « Toum-toum » et les « wabadouba ». Autant dire qu'on lui a réservé la place nécessitant le moins de mémoire...